Il approuve toutefois l'intrusion des agences de notation dans les affaires de la Caisse! Et il remercie les dirigeants de ces agences «étrangères» d'avoir donné cet avertissement d'une possible future décote si jamais l'État demandait aux dirigeants de la Caisse de privilégier le développement économique du Québec ! C'est clair : les États doivent suivre les ordres des agences de notation. En finance, c'est désormais le règne de la pensée unique - l'élément central du développement économique, c'est la création de la richesse monétaire, du rendement et de l'exploitation maximale des ressources planétaires. Et l'ancien ministre des finances applaudit, lui qui rêve de la chefferie d'un parti...ultralibéral !